La corruption se rencontre partout à Madagascar. Cela concerne aussi bien les secteurs publics que les établissements privés. Depuis quelques décennies, les Nations-Unies ont embarqué dans une lutte sans merci contre la corruption. L’Objectif de Développement Durable numéro 16.5 consiste d’ailleurs à réduire nettement la corruption et la pratique des pots-de-vin sous toutes leurs formes. Madagascar, quant à elle, dispose des organismes et services de lutte anti-corruption, tels que le BIANCO (Bureau Indépendant Anti-Corruption) et le PAC (Pôle Anti-Corruption).
Malgré cela, selon la PILCC (Politique Interne de Lutte Contre la Corruption) publiée par le Ministère de l’Economie et des Finances (septembre 2022) : « […] les indicateurs en matière de corruption révèlent que la grande île reste largement en dessous de la moyenne sur le continent africain ». C’est ainsi que la Grande Ile se place au 142ème rang sur 180 pays, avec un score de 26/100 en termes d’Indice de Perception de la Corruption (IPC), comme il est mentionné dans le rapport de Transparency International 2022.
La corruption constitue pourtant un important blocage au développement socio-économique des organismes et donc du pays. La lutte devrait ainsi être menée au sein de chaque association et de chaque entreprise. Cela pourrait être réalisé par la mise en place d’un système de management anti-corruption (SMAC) selon la norme ISO 37001 :2016. Pour en savoir plus sur cette démarche, SMS Consulting, le premier partenaire SILVER de PECB à Madagascar, peut vous aider en ce sens.